samedi 16 juin 2007

"Comme par hasard" (le grand complot).

La bombe "gay": quand le Pentagone pensait utiliser la puissance de l'amour.

Une bombe "gay" transformant des soldats ennemis en homosexuels préférant faire l'amour à la guerre, l'idée saugrenue avait été proposée en 1994 par un laboratoire militaire au Pentagone, qui n'a pas donné suite.Le laboratoire Wright de l'armée de l'air à Dayton (Ohio) réclamait 7,5 millions de dollars pour développer cette bombe contenant un produit chimique au puissant effet aphrodisiaque qui entraînerait "un comportement homosexuel" censé affecter "le moral et la discipline des unités ennemies".


Le document, déniché en décembre 2004 par le Sunshine Project, une association basée au Texas (sud) et en Allemagne qui milite contre les armes biologiques, agite depuis quelques jours la blogosphère et des médias américains.


Le Pentagone a confirmé l'existence de cette proposition mais en a minimisé la portée. "Le ministère de la Défense n'a jamais creusé un tel concept (...) et aucun financement n'a été fourni par le Pentagone", a affirmé un porte-parole militaire, le lieutenant-colonel Brian Maka. Il rappelle que l'idée faisait partie d'une série de propositions sur des armes non-mortelles, dont un produit chimique rendant les ennemis très sensibles à la lumière du soleil ou un autre rendant des abeilles agressives et les poussant à attaquer des humains.


Edward Hammond, du Sunshine Project, conteste toutefois les affirmations du Pentagone. "La proposition n'a pas été rejetée sur le champ. Elle a été examinée par la suite", a-t-il écrit sur le site internet de l'association.


Il affirme ainsi que l'idée a été insérée en 2000 dans un CD-ROM promotionnel sur les armes non-mortelles par un organisme du Pentagone, basé à Quantico (Virginie), qui avait à nouveau repris l'idée en 2001 dans une étude soumise à l'Académie nationale des sciences.


Cette histoire de bombe "gay" suscite en tout cas des commentaires moqueurs de bloggeurs. "Si nous avions une bombe gay sous la main, pourquoi ne pas la balancer dans les montagnes d'Afghanistan", s'interroge republicoft.com, qui s'identifie comme noir et homosexuel vivant à Washington.


"Les imbéciles qui ont eu cette idée devraient être giflés et contraints à écouter les disques de Judy Garland pour le reste de leur vie", écrit un autre bloggeur, Ed Brayton, sur le site Huffington Post.


Les experts de la question homosexuelle trouvent cela moins drôle. "Cette histoire montre les idées dépassées du Pentagone sur la sexualité et sur la relation entre la sexualité et la notion d'être un bon soldat", estime Aaron Belkin, professeur à l'Université de Californie (ouest) à Santa Barbara.


"Imaginer que vaporiser un produit chimique sur quelqu'un puisse le rendre homosexuel est grotesque, et imaginer que cet individu transformé en homosexuel devienne alors un mauvais soldat est également grotesque", dit-il à l'AFP.

Source : AFP (15 Juin 2007).



La cause occulte d'une défaite évitable.

Une rumeur circule avec insistance dans un cercle d’initiés qui se sont engagés au silence (enfin, presque…). Elle explique la défaite de la France à Singapour et l’homérique colère piquée, quatre jours après s’être proclamé Londoniennement solidaire, par Bertrand Delanoë, président du Groupement d’Intérêt Public (G.I.P.) « Paris - Ile-de-France 2012 », chargé de présenter la candidature de Paris à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2012.


Selon ces bruits, des lobbyistes mal intentionnés auraient fait tenir à des délégués musulmans de pays musulmans, des photos du maire de Paris en tête de la Marche des Fiertés (ex-Gay Pride), accompagnés d’autres photos de la Marche elle-même. On y voyait, paraît-il, les plus grotesquement obscènes des Artabans du défilé. Ce qui aurait eu un effet dévastateur sur quelques délégués dont les votes ont finalement manqué à la candidature française.


La colère de Bertrand Delanoë aurait été d’autant plus violente qu’il ne pouvait pas invoquer les causes réelles de l’échec. C’aurait été reconnaître qu’en dépit de ce qu’il se passe dans quelques pays de l’hémisphère nord, il reste pénalisant d’être homosexuel dans le monde d’aujourd’hui. Et les médias qui sont censés nous informer, pratiquement tous acquis au mariage homosexuel et à l’homoparentalité, auraient été condamnés au même silence pour les mêmes motifs.


Se non è vero, è ben trovato. Et le coup fait tellement “perfide Albion” qu’on en vient en souhaiter sa confirmation officielle…


Mais au-delà de son aspect anecdotique, l’éviction de la France conduit à s’interroger quant à l’opportunité de la désignation d’un homosexuel avéré et ostensible en tant que président du G.I.P. « Paris - Ile-de-France 2012 ».


Alors que chaque voix devait compter, pouvait-on raisonnablement renoncer à toute forme de considération pour la sensibilité particulière de délégués de pays dans lesquels l’inversion sexuelle constitue un délit, voire un crime et, dans tous les cas, une offense majeure à Dieu ? D’aucuns objecteront que ce n’est pas à la France, Etat laïc, à s’adapter aux pratiques, coutumes et usages des musulmans, mais là n’est pas le vrai problème.


Il est le suivant : quand on aspire à organiser les J.O. ne doit-on pas mettre tous les atouts dans son jeu et veiller minutieusement à en exclure les mauvaises cartes ? Toutes les mauvaises cartes ? Y compris la carte Delanoë, dès lors qu’on en peut craindre un impact dommageable, si limité soit-il ?


Si la réponse est négative, alors il faut présenter la candidature de Paris à « Cité universelle de la Tolérance » [photo] et certainement pas à l’organisation de la plus grande manifestation sportive du monde, dans l’attribution de laquelle les musulmans occupent une place non négligeable.


Les délégués que les moeurs du maire de Paris pouvaient indisposer étaient au nombre de treize : Nawaf Faisal Fahd Abdulaziz (Arabie Saoudite), Shadid Ali (Pakistan), Ahmad Al-Fahad Al-Sabah (Koweit), Lamine Diack (Sénégal), Alpha Ibrahim Diallo (Guinée), Hicham El Guerrouj (Maroc), Rania Elwani (Egypte), Mustapha Larfaoui (Algérie), Samih Moudallal (Syrie), Sabet Mounir (Egypte), Nawal El Moutawakel (Maroc), Mohammed Mzali (Tunisie), Youssoupha Ndiaye (Sénégal).


Le cas de Mme Elwani est exemplaire. Il représente cet Islam “modéré”, avec lequel nous sommes invités à frayer. Née en 1978, de nationalité égyptienne, licenciée en biologie, multimédaillée (or, argent et bronze) aux Jeux Africains, Méditerranéens et Panarabes, Mme Elwani représente la jeune femme arabe moderne telle qu’on l’imagine, émancipée au point de paraître en (suggestive) tenue de nageuse devant des milliers de spectateurs et des millions de téléspectateurs. Or, elle n’en est pas moins strictement voilée jusqu’à la racine des cheveux, sur sa photographie officielle de membre du CIO !


Voilà le genre de personne qu’il s’agissait de séduire…
M. Bertrand Delanoë n’était assurément pas le mieux placé pour le faire. Il serait bon de tirer les conséquences de son échec, toutes les conséquences. Mais aussi de se préoccuper de l’image désastreuse que l’Europe du mariage homosexuel et de l’homoparentalité est en train d’offrir au Tiers Monde.

Source : altermedia.info (15 juillet 2005).


Les américains auraient-ils lancé une bombe gay sur la Mairie de Paris pour garantir les J.O. à leurs alliés anglais et faire payer aux français leur désengagement en Irak ?
La Ligue enquête...

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