samedi 2 août 2008

Clic clac.


Pervert Alert: Japanese IPhone Shutter Sound Cannot Be Switched Off.

According to Japanese blogger Nobuyuki Hayashi, the annoying clicky shutter sound of the Japanese-bound iPhone 3G cannot be switched off, even in silent mode. Why? Because perverts cannot be trusted not to shove their phones up some poor girl's skirt and snap a picture. So big is the problem of upskirt photography (coupled with 5-plus Megapixel camera phones) that almost no Japanese phones can have the telltale sound disabled.

We're guessing that the clicks would have to be pretty loud to be heard on Tokyo's notoriously busy subway, but the most intriguing part is that, if this story is true, it's the first country-specific change to the iPhone that we have heard of.

If any of our Japanese readers have an iPhone 3G, can you confirm this functionality tweak? Just don't get yourselves into trouble, y'hear?
Source : Charlie Sorrel (Wired, 21 juillet 2008).

vendredi 1 août 2008

War & Joystick

Game Controllers Driving Drones, Nukes

War really is getting more like a video game, as hardware and software from the gaming industry is increasingly being adopted for military use. The latest sign of this appeared at the Farnborough air show this week, where arms-maker Raytheon showed off its new Universal Control System for robotic aicraft. It's based on the same technology that drives Halo and Splinter Cell.

The Universal Control System is said to combine 'best-of-breed technologies from the gaming industry' with Raytheon know-how to create an interface which will lead to a significant reduction in accidents. Raytheon claim the system could save $500 million over ten years.

Improving the interface with techniques from video games can help ground robots too. New Scientist reported on how a Wiimote controller is being used to replace the joystick-type controllers used by PackBot IED disposal robots.

The ready availability of cheap processing power has not escaped DARPA, who have a program called Space Time Adaptive Processing or STAP Boy, with the goal of "harnessing the power of modern gaming chips to put teraflop signal processing into the hands of the individual soldier." Under this program, cheap hardware based on gaming engines will be used for tasks such as "high-resolution radar imaging….urban structure mapping and occupant tracking, and multi-dimensional automatic target recognition."

Presumably the troops will also be able to play Grand Theft Auto during downtime.

Source : David Hambling (DangerRoom, 19 juillet 2008).

L'article dans sa version complète, c'est : ici.

Sur le même sujet, la Ligue vous conseille l'article Game consoles used to control drone fighters sur le site MSNBC.

vendredi 18 juillet 2008

La Sarita


Certains se souviendront de ce fameux soir au Kamikaze à Cusco.

Bon groupe et bonne bière.

Ce n'était pas La Sarita, mais ça y ressemblait fort.

La Ligue vous conseille aussi :

Ya se ha muerto mi abuelo : ici.

La Danza de la Raza : .

Ou encore Cariñito : juste là.

jeudi 17 juillet 2008

Cuerpo triste


L'été, le soleil (mais si), les vacances (non ?) et une dose de Muñoz.

C'est pas la belle vie ?

Source : Estopa (Cuerpo triste, Allenrock 2008).

samedi 14 juin 2008

Dans le métro II : Santeria.


240. C’est le nombre de fichiers que l’on peut enregistrer sur un shuffle.

240. C’est le nombre de morceaux que vous devez sélectionner pour inscrire dans le chrome la bande originale de votre quotidien palpitant.

Rester sur shuffle, c’est accepter que le hasard d’une puce digitale vous impose sa loi sonore.

240, c’est peu. Mais c’est trop pour ne jamais zapper sur la plage suivante, même si ce n’est pas du jeu. Parfois il y a des titres qu’on a vraiment envie de sauter. Juste parce que ce n’est pas le moment, ou parce qu’on a pas eu le temps de remplacer un morceau dépassé pour le remplacer par un nouvel élu (240 morceaux : les places sont chères), ou simplement parce qu’il faut parfois rappeler à la machine qui est le patron.

Mais il faut savoir s’imposer des limites. Ne jamais zapper deux fois à la suite : c’est ma règle. Parce que nous devons parfois souffrir pour assumer nos choix, quitte à subir trois ou quatre minutes de torture musicale, imposées par le shuffle et par celui qui était moi (ce moi qui a osé programmer ce titre moisi dans cette compilation que se voulait idéale).

14h25, c’est le moment.

48°51’07.20N 2°22’06.38E, c’est l’endroit. Station Bastille. Le quai de la ligne 1. Un court passage à ciel ouvert pour s’inquiéter de la météo et admirer les bateaux sur le canal.

Le déjeuner s’est éternisé et je suis pressé de regagner la base enterrée, à un bond de métro d'ici.

Le réseau. C’est comme ça que nous appelons ces endroits. Les couloirs, les escaliers, les tunnels. Des lieux de transit confinés, où dans leur concentration excessive les corps et les âmes se croisent à grande vitesse. Conjonctions d’un nano-instant t, inexistantes à t-1 et définitivement envolées à t+1. Dans cet étrange réacteur, les destins qui s’imbriquent et s’entrechoquent créent une énergie particulière. Une énergie que vous avez forcément déjà ressentie.

Ici plus qu’ailleurs, le hasard a son mot à dire.

Eso te paso por no saber que todo tiene su precio, atrevido. Eso te paso por no sabe, atrevido.

Le premier signal vient du shuffle. Orishas.

Atrevido, un morceau servi par le random, qui, isolé, n’aurait rien d’un message. Mais c’est à ce moment que je le croise.

Un succube tout droit sorti d’un bestiaire moyenâgeux. Un concentré de luxure enfermé de un corps modifié, plus voluptueux que celui d’une femme. Ses traits indiens se cachent péniblement derrière l’expérience ratée d’un plasticien clandestin certainement rayé depuis longtemps des listes officielles (même dans le pays du tiers-monde où ce vilain charcutage a dû avoir lieu).

J’aurais pu le croire importé des bords de l’Amazone, mais un tatouage lui barre le bas des reins en lettres gothiques pour affirmer son appellation d’origine contrôlée de pur produit des caraïbes. Santero.

Santero…

Que viennent faire ici ces relents de magie cubaine ? S’agit-il d’une manifestation de l’énergie des destins et du hasard produite par le réseau, représentée pour l’occasion par les divinités de la santeria ? Si ces signes sont l’œuvre d’Eleggua pourquoi les adresse-t-il de manière si individuelle vers ma modeste personne ? A moins que d’autres shuffles ne se soient mis à jouer des morceaux du même groupe sur le trajet du cubain tatoué ?

Le trans me jette un regard emprunt de lubricité. Je l’ai tellement détaillé qu’il doit me prendre pour un de ces amateurs de surprises velues. Je le sens prêt à négocier, mais je le décourage d’un geste poli et discret.

J’ai lu quelque part que les orishas avait depuis longtemps pris possession d’internet. Apparemment, la santeria a étendu son influence sur cet autre réseau, peut-être par le biais des relais wifi. Qui sait ?

Désormais, avant de vous asseoir dans le métro, vérifiez bien qu’il n’y ait pas un poulet décapité sous votre siège. C’est plus prudent.

samedi 7 juin 2008

Dans le métro.


Source : Yoyo (blogencommun.fr, 3 juin 2008).

La Ligue vous recommande quelques blogs et sites sur le thème du métro...

La carte des stations de métro des blogs parisiens : ici.

Blog en commun : juste .

Lili dans le métro.
Le Blog des aventures de SuperTonin, musicien dans le métro...

Brèves de métro.

Histoire du ticket de métro.

Nues dans le métro : fantaisies souterraines.

Un passionné nous parle.





Source : JamAbelanet (Fantaisies souterraines).

jeudi 5 juin 2008

L'échelle de Sjöberg.

Secrets of the 7 Basic Blog Posts

In the spirit of oversimplifying things so that you can smugly shove human endeavors into pre-labeled slots, I'd like to present my own, contemporary take on this premise: the Seven Basic Blog Posts.

1. Be upset!

2. Buy a thing!

3. Animals are cute!

4. People are dumb!

5. Something I like, only different!

6. Weird science!

7. Me, the blogger!


Théorie à lire dans le détail : ici.


Source : Wired (Lore Sjöberg , 4 juin 2008).