samedi 22 décembre 2007
samedi 15 décembre 2007
Que du bonheur...
13 novembre 2007. CRS et gendarmes mobiles engagent une charge enthousiaste (petits veinards) sur les "bloqueurs" de l'université de Nanterre, sous les hourras et applaudissements des étudiants non grévistes qui veulent accéder aux cours.
Un moment rare et festif.
Source : vidéo amateur.
Juste après, reportage de la Télé Libre dans leur séquence "point rouge" (John Paul Lepers). Très mauvais pour les nerfs mais très révélateur.
El zorro.
La statue, érigée dans un hôtel, personnifie Diego de la Vega, le véritable nom de Zorro selon l'histoire, dans une attitude cinématographique, en garde, portant chapeau, masque et habits noirs.
"Le ministre du tourisme de Sinaloa Antonio Ibarra a inauguré une statue dédiée à la légende de Zorro, personnage qui est devenu fameux par le cinéma et qui selon les chroniques est né dans ce village colonial", indique un communiqué.
Zorro a été incarné au cinéma par Douglas Fairbanks, Tyrone Power et Antonio Banderas.
Source : AFP (13 décembre 2007).
Il fait beau dans le métro !
Source : BCP.
Un petit message corpo de la part de la ligue qui est un peu débordée en ce moment. Ceci explique cela.
Merci à l'excellent Mowglii pour ce petit moment de bonheur.
dimanche 2 décembre 2007
Le saphir maudit.
A gemstone ‘stained with blood and dishonour’ haunted anyone who owned it. This week it goes on show for the first time.
Some 34 years ago Peter Tandy, a young curator at the Natural History Museum, happened upon a jewel while working among the great lines of mineral cabinets. From a scientific perspective, the stone was nothing special, though its setting was rather bizarre, bound by a silver ring decorated with astrological symbols and mystical words with two scarab-carved gems attached. It was a typewritten note that accompanied the jewel, an amethyst known as the Delhi Purple Sapphire, that caught Tandy’s eye.
“This stone is trebly accursed and is stained with the blood, and the dishonour of everyone who has ever owned it,” said the note, which had been written by Edward Heron-Allen, a scientist, friend of Oscar Wilde and the amethyst’s last owner. It carried a curse and had left a trail of bad luck and tragedy.
Heron-Allen claimed to have been so disturbed that he had surrounded the amethyst with supposedly protective charms and sealed it inside seven boxes before leaving it to the museum in his will. His letter concluded: “Whoever shall then open it, shall first read out this warning, and then do as he pleases with the jewel. My advice to him or her is to cast it into the sea.” While they were sceptical, Tandy and his colleagues agreed to keep quiet about the curse.
The jewel might have remained hidden if its remarkable story had not caught the imagination of staff working to relaunch the museum’s public mineral gallery, the Vault. On Wednesday, the Delhi Purple Sapphire will go on permanent display at the museum, complete with a label declaring its reputation as “trebly accursed”.
A supernatural tale might seem to sit a little uneasily in one of the world’s great scientific institutions. But according to Alan Hart, head of collections in the mineralogy department, such narratives give the collection a cultural dimension that appeals to visitors.
“People ascribe precious stones with all sorts of legends. All it needs is for one owner to declare it to be cursed or lucky and the story will remain with the stone as it is passed from person to person through history,” he says.
But that the Delhi Purple Sapphire was cursed was never doubted by Heron-Allen’s family. Ivor Jones, his grandson, a 77-year-old former naval officer, refuses to handle the jewel.
“My mother certainly wouldn’t touch it and she recommended that we didn’t either because of the curse,” he says. Heron-Allen was one of the most remarkable individuals ever associated with the Natural History Museum. Independently wealthy, he trained as a solicitor while simultaneously learning the art of violin-making – his book on the history of the instrument, published in 1884, is still in print. He studied Persian and wrote a prose translation of The Rubaiyat of Omar Khayyam. But it was as a scientist that he forged the strong bond with the museum that would ultimately see the cursed amethyst wind up in South Kensington.
He had a lifelong fascination with foraminifera, single-celled aquatic organisms that create exquisite, shells and by the time he died in 1943 he had already given the museum the world’s finest library of works on the subject.
But later that year a box arrived that nobody had been expecting. The accompanying note, written by Heron-Allen told the story of the Delhi Purple Sapphire. It had, Heron-Allen said, been brought to the UK by a Bengal cavalryman Colonel W Ferris after being looted from the Temple of Indra in Cawnpore – now Kanpur – during the Indian Mutiny in 1857. The soldier thereafter lost money and health, his son doing likewise after inheriting it. A family friend who possessed it for a short time committed suicide.
Heron-Allen was given the stone in 1890 and was immediately beset by misfortunes. He twice gave the stone to friends who had asked for it – one “was thereupon overwhelmed by every possible disaster”, the other, a singer, found “her voice was dead and gone and she has never sung since”.
He even claimed to have thrown the amethyst into Regent’s Canal only for it to be returned to him three months later by a dealer who had bought it from a dredger.
In 1904 he had had enough. He declared: “I feel that it is exerting a baleful influence over my newborn daughter”, had it shipped to his bankers with instructions that it be locked away till after his death. It might sound farfetched but even scientists are not immune to the story’s power. Seven years ago John Whittaker, former head of micropalaeontology at the Natural History Museum, took the amethyst to the first annual symposium of the Heron-Allen Society, an organisation founded to discuss the man’s life.
On the way home, he says, “the sky turned black and we were overtaken by the most horrific thunderstorm I’ve ever experienced. It was so bad we considered abandoning the car and my wife was shouting, ‘Why did you bring that damned thing?’ ” Whittaker was taken violently ill with a stomach bug the night before the second symposium and he missed the third when he developed a kidney stone. The fourth symposium, in 2004, was held at the museum. “We were all a bit apprehensive on the eve of that meeting,” he says.
Source : Times (Steve Farrar, Sunday Times, 25 novembre 2007).
Une rencontre fortuite.
Les deux policiers ont été atteints par des balles tirées à bout portant par un groupe composé de deux hommes et d'une femme qui s'est échappé en voiture.
Selon la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, ces trois personnes "ont dit qu'elles appartenaient à l'ETA" et sont recherchées "avec des moyens extrêmement importants".
La rencontre entre les gardes civils et les Etarras présumés a été "fortuite", a-t-elle ajouté.
Les gardes civils s'étaient arrêtés pour boire un café à la cafétéria d'une grande surface où se trouvaient déjà les trois membres présumés d'ETA qui les ont vraisemblablement identifiés, a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse à Capbreton.
Quand les deux hommes sont sortis pour rejoindre leur voiture, les trois membres du commando les attendaient.
Michèle Alliot-Marie a jugé cet événement "tout à fait exceptionnel".
L'organisation clandestine n'a en effet jamais tué ni commis aucun attentat en France. Elle avait déjà échangé des tirs avec des gendarmes mais sans faire de victime.
L'ETA utilise la France comme base arrière pour cacher ses militants et ses arsenaux et y a commis de nombreux vols d'armes et d'explosifs.
Depuis, une vingtaine de membres de l'ETA ont été arrêtés en France. L'organisation est soupçonnée de plusieurs actions de cambriolage par lesquelles elle est suspectée de reconstituer son arsenal.
La danse du lion.
Source : Xiaomeng.
La danse du lion, un des divertissements chinois les plus populaires, s'effectue souvent à l'occasion des fêtes.
L'animal est figuré en général par deux personnes drapées d'une fausse peau de lion. La première tient la tête du fauve et l'autre, par derrière, se penche en avant et tient son compagnon par la ceinture. Quand le lion entre en scène, un ou deux jeunes garçons ou filles tentent de séduire l'animal avec une balle brodée comme appât. Excité par cette offre, le lion saute et bondit, essai de saisir la balle dans ses énormes mâchoires et imite divers autres mouvements comme un vrai lion. Dans certains cas, un lionceau l'accompagne, représenté par un seul homme qui utilise ses bras comme pattes de devant, ses jambes comme pattes de derrière.
La danse du lion allie deux styles différents : l'élégance et la vigueur. Le premier exprime l'humour, l'esprit et la gaîté du fauve par des finesses dans la façon d'écouter, de souffler, de clignoter des yeux et de se gratter. Le second traduit la force et la combativité du roi des animaux.
Un autre type de la danse est celui du « lion actionné à la main. » Le corps de la bête se forme avec des cercles de bambou, et un ou deux danseurs l'animent au moyen d'un bâton soutenant la tête et un autre l'arrière-train. Le lion effectue des mouvements très vifs. Le troisième type, appelé « lion du banc », demande deux exécutants. Le corps du lion est constitué par un banc, doté de la tête sur l'un de ses bouts. Les deux joueurs tiennent chacun deux jambes du banc. Le fauve exécute des mouvements de bas en haut ou de haut en bas, des plus étonnants.
En Chine, la danse du lion varie selon la région. Par exemple, à Beijing (Pékin), on met l'accent sur les mouvements de la tête. Celle-ci pèse de 30 à 45 kilos et elle est tenue haut par le danseur qui fait des escalades ou joue dans une eau imaginaire. Ce type de danse était souvent représenté par des maçons avant la Libération en 1949.
Des dockers de la province du Hubei, sur le cours moyen du Yangtsé, exécutent un autre type de danse du lion, très magnifique, qui consiste à « passer sous des tables superposées. » Cinq tables sont placées l'une sur l'autre, et le lion passe sous elles une à une, de bas en haut. Au sommet, à plus de trois mètres du sol, il saute brusquement en bas, à la grande peur des spectateurs. Après un roulé-boulé sur la planche, il se relève et continue de danser.
Il existe encore un type de danse fort amusant, en Chine méridionale. Avant le commencement de la représentation, un des spectateurs accroche, en guise d'appât, un cadeau enveloppé dans un paquet rouge avec un bouquet de légumes au bout d'une perche de huit mètres. Dans des roulements de tambours et des battements de gong, la bête commence à grimper une échelle humaine jusqu'à la hauteur de l'appât, ouvre ses grandes mâchoires et l'avale au milieu des acclamations des spectateurs et dans un crépitement de pétards.
La danse du lion, symbole du bonheur et de l'audace en Chine, a une longue existence. Selon les archives, elle devint une représentation artistique dès les dynasties du Sud et du Nord ( 420 -589 ). Sous les Tang ( 618 - 907 ), elle fut très populaire, sa technique atteignant alors un niveau très élevé.
Après la naissance de la Chine nouvelle, du spectacle de rue, exécuté par des amateurs, la danse du lion est devenue une représentation de scène donnée par des professionnels. Des chorégraphes chevronnés l'ont améliorée et développée, en composant de beaux numéros. Ceux-ci atteignent une haute perfection technique tant dans la présentation et l'accompagnement musical que dans la mise en scène.
Un d'entre eux, « le passage d'un pont sur des boules », est inscrit au répertoire de la Troupe acrobatique de Beijing. Deux lions se tiennent debout chacun sur une sphère de bois et font rouler doucement leurs boules, d'un bout à l'autre, sur une planche basculante d'un tiers de mètre de large. Une jeune fille, debout sur le dos de la première bête, laisse pendre comme appât une balle colorée pour séduire la seconde qui se dresse sur les pattes de derrière.
La « Danse sur un câble » est un numéro mis au point par la Troupe acrobatique du Hunan (Chine centrale). Il comporte deux lions, un grand figuré par deux danseurs et un petit par un seul. Chaque fauve marche sur une corde liée à un bout à une chaise à sept mètres du sol. Montant sur la chaise, les animaux y tournent en rond avec une grâce comique.
Des virtuoses savent maîtriser des mouvements difficiles comme sauts périlleux et exercices sur une structure à multiples poteaux de bois. Jouant sur cette charpente, le lion se livre à des mimiques expressives qui traduisent sa joie, sa colère, sa méditation etc. (par Luo Qifan)
Source : Le Quotidien du Peuple en ligne.
En souvenir d'une magnifique journée à Tiger Hill. Un an déjà !